Vendredi 17 mars, le Chemin de Croix dit à Sainte Bernadette reprend celui proposé par l’évêché. Les témoignages de ce qui a été vécu sont lus en silence par chacun des participants.
C’est finalement vendredi 17 mars (et non le 12), date arrêtée par la Conférence des évêques de France que se tiendra dans le diocèse, la Journée de prière pour les personnes victimes de violences, d’agressions sexuelles et d’abus de pouvoir et de conscience au sein de l’Église. N’oublions pas « les crimes subis et la souffrance toujours actuelle des victimes ».
Le 28 septembre dernier, notre archevêque Mgr Fonlupt faisait parvenir à ses prêtres un message leur précisant que le mardi 5 octobre le rapport de la CIASE (Commission Indépendante sur les Abus Sexuels dans l’Eglise) sera rendu public, au terme d’un travail de 2,5 années.
La gravité des faits qui seront divulgués risque de blesser les membres des communautés chrétiennes, les personnes victimes, les diacres et prêtres...
D’où le message de Mgr Fonlupt du 10 octobre (ici vous disposez de la version longue. Aux célébrations du week-end a été lue la version courte) pour nous inviter à vivre dans l’humilité et l’espérance cette étape.
On consulter les liens suivants :
- la lettre du père Vincent Breynart, en préparation de la remise du rapport
- l’allocution de Mgr Eric de Moulins-Beaufort à la réception du rapport de la CIASE
- des liens vers la CIASE et son rapport
- « Je vais t’aider mon Dieu à ne pas t’éteindre en moi », un message de Mgr Fonlupt.
- Dimanche 20 mars 2022, journée de prière pour les victimes de violences sexuelles et d’abus de pouvoir au sein de l’Eglise.